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Se perdre, retrouver et fĂȘter. Le chemin du pĂšlerin.
Lors dâune priĂšre au gĂźte El JirĂ© (« Dieu pourvoit ») Ă Montpreveyre (canton de Vaud), jâai tracĂ© un parallĂšle entre la parabole de la brebis perdue et lâexpĂ©rience du pĂšlerinage. Le thĂšme de cette parabole peut ĂȘtre rĂ©sumĂ© en trois actions : se perdre, retrouver, cĂ©lĂ©brer (Luc 15,3-7 inspirĂ© par la « Parole de Vie »âŠ
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« Les dons et lâappel de Dieu sont irrĂ©vocables. » Le mystĂšre dâIsraĂ«l
Jâai hĂ©sitĂ© Ă parler de ce thĂšme ce matin le contexte actuel du conflit israĂ©lo-palestinien qui s’envenime de jour en jour.[1] Parler dâun « mystĂšre dâIsraĂ«l » pourrait paraĂźtre une provocation, alors que la guerre fait rage Ă Gaza et que les images qui viennent de lĂ -bas nous troublent au plus haut point. Alors pourquoiâŠ
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1925-2025 : PassĂ©, prĂ©sent, avenir â regards sur le chemin dâunitĂ© chrĂ©tienne
Le samedi 23 aoĂ»t 2025, la cathĂ©drale de Stockholm a retenti du son des cloches, comme en 1925, lorsque Ă©vĂȘques, patriarches et responsables dâĂglises entrĂšrent en procession, lors de la premiĂšre confĂ©rence Life and Work tenue dans cette ville. VĂȘtus de leurs habits liturgiques, ils manifestaient Ă la fois la diversitĂ© des traditions et leur dĂ©sir dâunitĂ©.âŠ
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Stockholm 1925-2025 : cent ans dâun chemin dâunitĂ© et de paix
Entre le 22 et le 24 aoĂ»t 2025, trois cĂ©lĂ©brations exceptionnelles ont marquĂ© en SuĂšde le centenaire de la ConfĂ©rence de Stockholm de 1925 : une commĂ©moration dans lâĂglise pentecĂŽtiste Philadelphia, une cĂ©lĂ©bration ĆcumĂ©nique dans la cathĂ©drale de Stockholm, en prĂ©sence du roi et de la reine, et une grande liturgie solennelle dans la cathĂ©draleâŠ
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Les racines bibliques de la proximitĂ©Â
Tout ce document en fichier pdf VidĂ©o de ma confĂ©rence Chaque annĂ©e, le mouvement des Focolari propose un thĂšme de rĂ©flexion Ă ses membres, dans le monde entier. Cette annĂ©e, câest celui de la « proximitĂ© », dont je propose dâapprofondir les racines bibliques, dans cette Ă©tude.[1] Un Dieu proche de l’humanitĂ© En crĂ©ant l’homme Ă sonâŠ
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« Qui dites-vous que je suis? » La divinitĂ© du Messie dans la Bible et au concile de NicĂ©eÂ
Voir la vidĂ©o Ă partir de la minute 42 « Qui dites-vous que je suis », cette question de JĂ©sus posĂ©e un jour Ă ses disciples traverse tous les siĂšcles. (Matthieu 16,15) Elle est sans doute une des questions essentielles. Ses disciples lui disent dâabord ce que pensent les gens : « un prophĂšte ». Mais Pierre rĂ©pond : « Tu esâŠ
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Le cĆur nouveau chez Luther et CalvinÂ
Tant pour Martin Luther que pour Jean Calvin, le cĆur est leur symbole. « Je vous donnerai un cĆur nouveau et je mettrai en vous un esprit nouveau ». Ce verset avait Ă©tĂ© choisi par un groupe ĆcumĂ©nique en Allemagne pour les 500 ans de la RĂ©forme en 2017. Jâaime que ce texte dâĂzĂ©chiel â thĂšmeâŠ
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Jésus, notre ami
« Je vous appelle mes amis si vous faites ce que je vous commande ». (Jean 15,2-17) Ce verset est tirĂ© de ce grand texte de l’Evangile de Jean que nous connaissons par cĆur et qui est si central dans la spiritualitĂ© de lâunitĂ© que C. Lubich nous a laissĂ© et que nous avons approfondi lors d’une rĂ©centeâŠ
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« Recevoir un cĆur et un esprit nouveaux ».
Quelques moments de la retraite de lâAscension animĂ©e par Florence Gillet et Martin Hoegger, dans le cadre du Mouvement des Focolari. (Saint Maurice, (29 mai – 1er juin 2025). Retraite vĂ©cue sur le verset « Je vous donnerai un coeur neuf et je mettrai en vous un esprit neuf; j’enlĂšverai de votre corps le coeur de pierreâŠ
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« Donne-moi un cĆur qui Ă©coute » Â
Une des plus belles priĂšres de la Bible est celle de Salomon qui a demandĂ© Ă Dieu : « Donne-moi un cĆur qui Ă©coute ! » (« Lev shoméå » en hĂ©breu, 1 Rois 3,9). Je l’ai approfondi lors dâune rĂ©cente retraite spirituelle sur le thĂšme du « coeur nouveau ». Cette priĂšre de Salomon a plu Ă Dieu. Dans le texte qui suit sa demandeâŠ
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Vers un deuxiÚme Concile de Jérusalem
Une blessure profonde sĂ©pare, depuis les dĂ©buts de lâhistoire, les chrĂ©tiens des nations et les juifs messianiques. L’initiative « Vers un deuxiĂšme Concile de JĂ©rusalem » (TJCII) croit que les voies de la rĂ©conciliation en Christ apportent la guĂ©rison aux parties concernĂ©es. Car elles sont destinĂ©es Ă se complĂ©ter et Ă sâencourager mutuellement. Son objectif est deâŠ
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1700 ans du Concile de Nicée: «Jésus est-il Dieu?»
DĂšs le dĂ©but de lâĂglise, lâidentitĂ© de JĂ©sus a Ă©tĂ© un âsigne de contradictionâ. La question de JĂ©sus «qui dites-vous que je suis» est posĂ©e Ă toutes les gĂ©nĂ©rations (Mt 16,15). 1700 ans aprĂšs sa tenue, quelle est lâactualitĂ© du concile de NicĂ©e pour le dialogue ĆcumĂ©nique et la place donnĂ©e Ă son credo affirmant la double nature divine etâŠ