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La famille, joyau de Dieu dans le monde
Quâest-ce que la famille ? Les sciences humaines et sociales en donnent les dĂ©finitions les plus diverses. Selon lâĂcriture, il nous suffit de dire quâelle est le modĂšle de tous les autres projets de Dieu. Dieu fait exister lâhumain en famille dĂšs le commencement. En prenant notre chair, il a lui-mĂȘme vĂ©cu dans une famille. EtâŠ
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Le JubilĂ© du cĆur : sortir de lâesclavage de soi-mĂȘme
Le JubilĂ©, dans la Bible, est un grand sabbat : un temps de repos, de libĂ©ration, de retour Ă lâessentiel.[1]Câest le temps oĂč la terre se repose, oĂč les esclaves sont libĂ©rĂ©s, oĂč les dettes sont effacĂ©es.Mais il y a un autre esclavage, plus subtil, dont nous devons ĂȘtre libĂ©rĂ©s : lâesclavage de la perfection. QuandâŠ
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Le peuple juif et lâĂglise : repenser lâhĂ©ritage du concile de NicĂ©e
La synagogue chassĂ©e, symbole de lâexclusion du judaĂŻsme Ă NicĂ©e. Fresque du monastĂšre dâAbu Gosh (IsraĂ«l). This article in english En 2025, lâĂglise commĂ©more les 1700 ans du concile de NicĂ©e, moment dĂ©cisif de son histoire marquĂ© par la confession de JĂ©sus-Christ comme « vrai Dieu » et « vrai homme ». Cet anniversaire est lâoccasionâŠ
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LâactualitĂ© du Concile de NicĂ©e et lâavenir des crĂ©dos et des conciles. Quelques voix protestantes.
Thessalonique, lieu du CongrĂšs sur le concile de NicĂ©e Dans le cadre du SeiziĂšme congrĂšs international du RĂ©seau international de recherche en ecclĂ©siologie,Thessalonique, 17-20 septembre 2025, auquel jâai participĂ©, plusieurs thĂ©ologiens protestants ont explorĂ© la question de lâactualitĂ© du Concile de NicĂ©e avenir des crĂ©dos et des conciles. Le Concile de NicĂ©e : une source d’inspirationâŠ
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LâĂȘtre humain, miroir de Dieu et temple de sa prĂ©senceÂ
Lâintelligence artificielle progresse Ă grande vitesse. Elle promet de remplacer bien des mĂ©tiers, dâexĂ©cuter des tĂąches que lâon croyait rĂ©servĂ©es Ă la raison.[1]Devant ces bouleversements, une question ancienne resurgit, plus brĂ»lante que jamais : quâest-ce quâĂȘtre humain ? Et si cette Ă©poque de transformations Ă©tait, pour nous, une occasion de redĂ©couvrir notre vraie identitĂ© ?NonâŠ
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Marie dans la spiritualité protestante et le dialogue oecuménique
Voici le texte de ma confĂ©rence donnĂ©e Ă l’UniversitĂ© Angelicum Ă Rome, le 24 mars 2025. Marie, on la chante, les peintres et les poĂštes sâen inspirentâŠmais peut-on en parler ? Elle appartient Ă tous. Au peuple juif dâabord, elle qui est fille de Sion. Les chrĂ©tiens, dans leur diversitĂ©, chantent avec elle la GrĂące magnifiqueâŠ
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Constantin, chrĂ©tien et homme dâĂ©tatÂ
IcĂŽne reprĂ©sentant l’empereur Constantin (au centre) avec des Ă©vĂȘques du Concile de NicĂ©e. DĂ©tail. « L’autoritĂ© est au service de Dieu pour t’encourager Ă agir bien. » (Romains 13,4). Ce verset de l’apĂŽtre Paul, tout politique chrĂ©tien le sait par cĆur.[1] Un des premiers Ă lâavoir vĂ©cu est l’empereur Constantin (272-337). Sa figure continue de susciter dĂ©bats et analyses. ConsidĂ©rĂ©âŠ
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Walking with the Shepherd in Taizé.
Every Saturday evening, a Protestant Eucharist is celebrated in the old Romanesque church of TaizĂ©. I presided over it on 6 September. In my homily, I drew a parallel between what we can experience in TaizĂ© and the parable of the lost sheep. With the three central verbs of this parable, as in others inâŠ
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Se perdre, retrouver et fĂȘter. Le chemin du pĂšlerin.
Lors dâune priĂšre au gĂźte El JirĂ© (« Dieu pourvoit ») Ă Montpreveyre (canton de Vaud), jâai tracĂ© un parallĂšle entre la parabole de la brebis perdue et lâexpĂ©rience du pĂšlerinage. Le thĂšme de cette parabole peut ĂȘtre rĂ©sumĂ© en trois actions : se perdre, retrouver, cĂ©lĂ©brer (Luc 15,3-7 inspirĂ© par la « Parole de Vie »âŠ
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« Les dons et lâappel de Dieu sont irrĂ©vocables. » Le mystĂšre dâIsraĂ«l
Jâai hĂ©sitĂ© Ă parler de ce thĂšme ce matin le contexte actuel du conflit israĂ©lo-palestinien qui s’envenime de jour en jour.[1] Parler dâun « mystĂšre dâIsraĂ«l » pourrait paraĂźtre une provocation, alors que la guerre fait rage Ă Gaza et que les images qui viennent de lĂ -bas nous troublent au plus haut point. Alors pourquoiâŠ
