Chiara Lubich n’a pas abordé directement la question de l’écologie dans le « Paradis de 1949 », son texte le plus important, dont la plus grande partie n’est pas encore publiée et qui fait l’objet de l’étude de « l’école Abba ». Cependant toute sa pensée donne une forte motivation pour s’engager à une autre relation avec la nature.
Le but de ces pages est d’étudier le sens de la nature dans ce texte mystique dont l’interprétation n’est pas aisée. Voici les quelques points que je traiterai :